Si
Pointe-à-Pitre est devenue la capital économique,
Basse Terre reste la capitale administrative de la Guadeloupe ... bien que l'éruption de 1976 a provoqué un exode massif vers sa rivale de toujours.
Il faut dire que coincée entre la mer et la montagne, avec des routes aux pentes dignes de pistes rouges et sous la menace régulière de la Soufrière, la ville n'a pas la meilleure situation pour une grande expansion économique.
La renaissance de Basse Terre passe sans doute par la mer et le tourisme : c'est en tout cas ce que doivent penser les décideurs, car le bord de mer a été entièrement aménagé tout comme le marché couvert ... bon, vu l'heure à laquelle nous y sommes passés, il n'y avait bien entendu plus aucune activité.